• Carcassonne. J'y joue seulement avec les enfants et nous n'avons que la première extension : Auberges et cathédrales. J'ai ramené d'Essen un petit bonus intitulé Die Schule (l'école) qu'on a utilisé ici pour la première fois. Deux tuiles symbolisant une école qui s'ajoutent à la traditionnelle tuile de départ, et de cette école partent de nombreuses routes. Un meeple translucide symbolise l'instituteur qui est gagné après qu'une de ces routes ait été clôturée. Lorsqu'une nouvelle route menant à l'école est clôturée par la suite, le joueur qui possède l'instituteur à ce moment marque lui aussi les points de cette route, le meeple change de main, et ainsi de suite…

C'est Nicolas qui joue de la manière la plus agressive, il s'incruste dans les villes des autres, place des difficultés à côté de celles où il ne se trouve pas, et il s'est arrangé pour que ses deux paysans lui donnent la majorité dans un grand près dans lequel nous étions tous présents pour marquer seul les 18 points.

Nicolas en route vers la Scandinavie.

• Risk Édition Napoléon. La télévision et la publicité. C'est à cause d'eux que j'ai ressorti ma vieille boîte de Risk. Les enfants ont vu de nombreuses fois la publicité que l'on ressort tous les ans à cette période pour rappeler aux gens que les jeux de sociétés existent. Ils ont vus aussi que j'ai moi aussi un Risk et ils me demandent pour essayer.

Je prépare une partie simplifiée en ne gardant que les objectifs de conquêtes par pays, pas de limite d'attaque, pas de généraux, pas de forteresses,… le Risk basique. Ils se sont quand même bien amusés en lançant les dés pour attaquer et espérer faire aussi bien quand ils devaient se défendre. Ça m'a rappelé mes anciennes parties.

Nicolas a, après avoir eu la France sous son contrôle, déferlé jusqu'en Suède en passant par la Grande-Bretagne en éliminant mes troupes. Élisa n'a rencontré aucune résistance dans sa conquête de l'Italie et j'ai dû me battre contre elle pour le contrôle de la Russie. Elle était très contente d'avoir gagné.